Les bonnes combinaisons

Mélanger des saveurs variées dans une recette est l’un des secrets qui offre une vraie réussite pour un plat savoureux. Le salé, l’acide, le sucré, et même l’amertume font une bonne combinaison pour assaisonner un plat salé. Pour une note sucrée, il ne faut pas hésiter à ajouter de la confiture, du miel, du ketchup ou du fruit. Et pour une touche d’acidité : le vinaigre, la câpre, le citron, la moutarde font bien l’affaire. Tandis que pour la pâtisserie, l’utilisation du beurre salé, le citron et même le moutarde procure un goût inattendu et savoureux que beaucoup ne résistent pas. Certains professionnels osent ajouter du vinaigre dans un gâteau au yaourt, de la pâte à pain majorée du poivre, de la vinaigrette, assaisonner du miel, de la sauce au chocolat mélangée avec du ketchup…. Presque tous les ingrédients peuvent se marier mais une bonne cuisson et de bons produits sont aussi exigés pour un plat bien réussi.

Réussir l’assaisonnement.

Habituellement, intégrer l’assaisonnement, notamment le sel, dès le début de la cuisson est la meilleure façon pour des ingrédients bien imprégnés. Mais d’autres assaisonnements ne sont préférables qu’à la fin de coction car ceci dénature le goût et la qualité du plat. L’arôme du poivre peut être brûlé s’il est cuit trop longtemps. Les herbes et les huiles peuvent devenir fades et perdre leur saveur. Si la sauce tomate devient un peu fade, ajouter une cuillerée à café de sucre est une solution. Saupoudrer d’un peu de muscade à la sauce béchamel lui donne un goût fabuleux. Ajouter un carré de chocolat aux sauces à base de jus de viande ou de fond de veau accentue sa saveur et fait ressortir ses odeurs ! Il faut savoir que la règle d’or est de goûter durant toute la cuisson pour corriger l’assaisonnement.

Le label Kasher

Ce label est l’un des premiers signes d’une nourriture respectant les techniques d’abattage juifs. Désormais dans les rayons, il n’est plus rare de trouver des signes distinctifs pour aider les consommateurs à se repérer. Et actuellement, vous pouvez facilement trouver une sélection de viande ayant ce label dans les boucheries spécialisées. Le label Kasher fait partie des initiatives respectant les droits de la consommation.

Le label est parfaitement visible sur les produits de la boucherie cacher et il est impossible de se tromper dessus.

Le numéro d’abattoir sur l’emballage

C’est un excellent moyen de différencier cette viande d’une viande halal. Pour ce faire,
il vous suffit de scanner le numéro inscrit sur l’emballage du produit (qui commence par les
deux chiffres du département) et de consulter la liste de l’OABA. Si une réponse apparaît,
l’abattoir fait donc partie de celles qui n’ont pas la dérogation de ne pas étourdir les animaux
lors de l’abattage.

Par contre, si aucun résultat ne s’affiche, le doute est permis. Dans tous les cas, le plus sûr est de vous tourner vers une boucherie casher qui respecte les rituels et les pratiques du judaïsme. Vous avez la possibilité de passer commande directement sur le site internet de la boucherie et de manger les viandes de volaille ou de bœuf dans la sérénité.

Jarret de bœuf, escalope de veau, poulet fermier ou encore côte d’agneau, vous y trouverez tout ce dont vous aurez besoin pour concocter de bons petits plats pour votre famille. Vous habitez loin ? Rassurez-vous, la boucherie détient un service de livraison compétent à portée de clic qui peut venir vers vous en quelques minutes/heures, selon la distance.

Le lieu de vente

Achetez vos viandes dans des boucheries spécialisées dans le casher. C’est le meilleur moyen d’être certain de l’origine de vos viandes. Toutes les boucheries casher sont dans l’obligation de mettre en avant leur certification pour que les clients puissent les reconnaître aisément. Sinon, recherchez-les sur internet et sélectionnez ceux qui sont les plus proches de chez vous.

En arrivant sur place, vérifiez bien que les produits sont frais et qu’il y a la présence de la lettre « R » qui est un signe qu’ils ont été produits en respectant les prescriptions rituelles du judaïsme durant l’abattage.

Sachez que la présentation des viandes dans la boucherie est également régie par des règles strictes. En effet, contrairement aux autres religions, le judaïsme interdit la consommation de certains morceaux de l’animal, dont les parties en contact avec le nerf sciatique. Si dans une boucherie se présentant comme « casher » vous trouvez cette partie du morceau de l’animal, évitez-la.

Une bonne dose de bonne humeur

Le flan queso fait fondre les cœurs, c’est divinement sucré en plus d’être incroyablement gourmand. Ceux qui aiment goûter aux plaisirs de la vie vont apprécier sans conteste cette recette de flan composée de caramel et de lait concentré. On ne passera pas à côté de ce dessert mexicain, prêt à ravir les papilles pendant les heures creuses de la journée. Grosse dépression, envie de rien ? Ce dessert guérit même les maux les plus sérieux.

On a flashé sur son côté croquant

Si les plats mexicains ne finissent pas de nous surprendre par ses goûts prononcés, le dessert met l’accent sur l’irréprochable saveur du Sud-Américain. La « marquesita » est une crêpe croustillante bien connue des Mexicains. Ce qui distingue cette recette de tant d’autres, c’est sa texture qui se rapproche de la bonne vieille gaufrette de nos grand-mères. Elle peut être dégustée salée ou sucrée. Avec du chocolat fondu, elle suggère le dessert idéal en toutes saisons.

Sous le soleil mexicain

Le régime végétal, un nouveau lifestyle dont raffole les végétaliens, mais pas que ! La boisson « horchata » suscite l’intérêt de nombreux adeptes. Il est clair que les touristes se réjouissent de goûter à cette douceur à base de riz, parfumée à la cannelle. Source d’énergie, et de bien-être, elle booste le dynamisme au naturel. Après une soirée bien arrosée, cette boisson rafraîchissante passe excellemment dans l’estomac. Puis, la « horchata » trouve sa place dans ce pays où le soleil tape fort. Que de bonnes nouvelles pour les vacanciers !

Une sauce au vin blanc

C’est la plus facile à réaliser et on vous recommande de prendre du vin blanc pour ne pas rater la préparation. Pour ce faire, faites bouillir dans une casserole le vin blanc avec des oignons et quelques herbes. Laissez cuire à petit feu et attendez que le liquide soit réduit jusqu’à sa moitié. Ceci prendra entre cinq et dix minutes. Mettez dans la préparation du fumet de poisson ou de la carcasse de viande. Laissez mijoter pendant une quinzaine de minutes. Vous aurez ainsi une sauce bien concentrée.
Filtrez la sauce et mettez-la dans une autre casserole. Ajoutez du beurre et lorsque cet ingrédient est fondu, ajoutez de la farine. N’arrêtez pas de remuer. Lorsque vous constatez que la sauce devient bien crémeuse, rectifiez l’assaisonnement et mettez votre préparation dans une saucière.

Une sauce au vin rouge

Pour cette préparation, il faudra commencer par faire revenir deux échalottes émincées dans une casserole avec un peu de beurre. Lorsque celles-ci sont bien dorées, ajoutez près de 20 cl de vin rouge. Il faut attendre une bonne quinzaine de minutes pour que le liquide réduise. Ajoutez par la suite la même quantité de fond de veau.
Lorsque la préparation est réduite, ajoutez du beurre et fouettez énergiquement. Si vous voulez que la sauce s’épaississe encore plus, ajoutez un peu de farine. Avant de retirer la sauce sur le feu, assaisonnez-la.

Les œufs en meurette est un plat traditionnel français et un grand typique de Bourgogne. Il s’agit d’un plat à base d’œufs pochés et de sauce meurette. C’est un plat très gourmand qui va donner certainement envie aux convives. Un plat souvent jugé difficile à réaliser, il peut cependant être réalisé par tous amateurs de cuisine avec quelques astuces.

Les ingrédients à fournir

Pour ce plat on va avoir besoin de : 2 cl de vin rouge, 40g de beurre, 2 oignons émincés, du vinaigre d’alcool, 4 tranches de lard demi-sel, 1 cuillère à café de graisse d’oie et 4 œufs pochés.

La préparation de la recette

Faire un fondu d’oignons : tout d’abord, commencer par fondre le beurre et faire suer les 2 oignons émincés dedans sans oublier de les assaisonner avec du sel et un peu de poivre. Après la cuisson des oignons, égoutter pour retirer la matière grasse.
Pour la cuisson des œufs, frémir de l’eau sans sel, puis verser le vinaigre d’alcool dans l’eau et attendre que le mélange chauffe jusqu’à ébullition. Le mélange bouilli de nouveau, verser les œufs dedans pendant 3 minutes pour une cuisson parfaite des œufs pochés.
Il est important de mettre les œufs dans de l’eau tiède après les 3 minutes pour qu’ils restent au chaud mais aussi pour enlever le goût de vinaigre.
Ensuite dorer les 4 tranches fines de lard avec du poivre, pour cela vous allez également avoir besoin de la graisse d’oie.
Après chauffer le vin avec une pincée de sucre et du beurre pour avoir une bonne sauce. Il ne reste plus alors qu’à dresser le plat et pour cela, laisser libre court à votre imagination. Il faut dresser tout simplement comme vous le sentez, par exemple le fondu d’oignon au milieu, ensuite le lard, après la sauce de vin et les œufs, vous pouvez les mettre au-dessus de la sauce.

La récolte des cœurs de l’agave

Pour produire de la téquila, il faut d’abord commencer par récolter les cœurs d’agave, c’est-à-dire les piñas. À noter que 70 kg de piñas peut produire environ 10 litres d’alcool. Une fois que les piñas sont extraites des agaves, il faut les couper en 2 ou 4 morceaux et les mettre au four à vapeur pour la cuisson pendant 50 à 72 heures. Pour une cuisson industrielle, la durée n’est seulement que de 12 à 48 heures. La cuisson permet de changer le sucre de l’agave en sirop fermentable. Quand les piñas sont cuites, il faut les passer à travers un moulin pour les écraser et séparer le jus des fibres.

L’étape de fermentation et de distillation

S’il s’agit d’une distillerie industrielle, la fermentation dure environ 2 à 5 jours et, s’il s’agit d’une distillerie traditionnelle, celle-ci peut durer jusqu’à 12 jours. À la fin de cette étape, la bière qui est de 4% à 7% sera filtrée avant de passer à la distillation.

Le vieillissement et la mise en bouteille

Avant la mise en bouteille, le boisson passe d’abord par la phase de vieillissement. Pour cela, ils utilisent souvent deux genres de contenants, dont les foudres de chêne et les fûts. Ce dernier peut être nouveau ou usagé et offre habituellement une capacité de 180 à 200 litres. Mais il y a aussi des fûts disposant d’un volume de 600 litres. Quelle que soit la contenance, les fûts doivent toujours être scellés en suivant la norme CRT. Puis, il y a les foudres qui peuvent contenir jusqu’à 20 000 litres d’alcool. Enfin, avant la mise en bouteille, les téquilas doivent être diluées et filtrées.
Si vous voulez goûter ce type d’alcool, sachez qu’il existe une vente de Tequila à Nice. Si vous êtes de passage à Nice, découvrez la ville, ses monuments et dégustez quelques bons plats de la gastronomie de la ville. Ensuite, passez à la Cave Rivoli pour goûter la fameuse Téquila des Mexicains?

Un calculateur pour trouver la quantité adaptée à vos moules

Plusieurs calculateurs en ligne vous proposent de trouver exactement la quantité d’ingrédients à utiliser si vous avez une moule de taille différente. Ces outils ont plusieurs cases que vous devriez remplir. En gros, vous saisirez la taille de la moule indiquée dans la recette. Renseignez également la quantité d’ingrédients correspondants. Indiquez ensuite la taille de la moule que vous avez. Le calcul se fera instantanément. Si vous vous souvenez encore de vos cours de calcul en primaire, alors, vous pourrez vous passer de calculateur en ligne. Utilisez tout simplement la formule de la règle de trois.

La conversion depuis un récipient rond vers un carré

Dans le cas où la moule indiquée est ronde, mais vous avez un modèle carré, ne paniquez pas. Il est tout à fait possible de faire le calcul manuellement en vous servant de la règle de trois. Cependant, vous devriez normalement vous baser sur la surface et non sur le diamètre. La formule est Surface = π x rayons x rayon. Exemple : si la moule de la recette a 20 cm de diamètre, sa surface sera de 3,14 x 10 cm x 10 cm. Ce qui donne 314 cm². La prochaine étape consiste à calculer l’aire de votre moule carré. Utilisez la formule côté multiplier par côté. Dans le cas d’un rectangle, ce sera longueur multiplier par largeur. Conversez avec la règle de trois pour connaître la quantité correspondante.

Préparer les ingrédients pour deux pizzas

Il vous faut environ 300 grammes de farine pour deux pizzas de taille moyenne. Vous travaillerez toute cette quantité en une seule fois, mais vous allez diviser en deux au moment de l’étaler sur la planche de travail. Vous aurez besoin de 10 cl d’eau, soit un petit verre si vous n’avez pas une dosette. Disposez également d’un sachet de levure boulangère. A cela s’ajoutent 2 cuillères à soupe d’huile d’olive et un peu de sel. Vous devez disposer d’un robot pâtissier. Un modèle multifonction classique pourra également faire l’affaire à condition d’avoir les bons accessoires pour le pétrissage. Un travail entièrement à la main pourra également être envisagé.

Battre la pâte à pizza

Commencez par tiédir vos 10 cl d’eau. Portez la température de ce précieux liquide à 35 degrés. Versez la levure dans cette eau tiède. Laissez reposer pendant une dizaine de minutes. Après ce petit repos, mélangez délicatement le levain ainsi obtenu. Versez la farine dans le grand bol de votre robot. Faites un puits au milieu. Mettez à cet endroit le sel ainsi que l’huile et le levain. C’est le moment de commencer le pétrissage. Réglez le robot à la vitesse la moins rapide. Augmentez au fur et à mesure. Ajoutez de l’eau s’il faut.

Continuer le travail manuellement

Lorsque la pâte a la bonne consistance, arrêtez le robot. Pétrissez-la avec l’arrière de votre paume. Malaxez jusqu’à obtenir un mélange assez souple. Laissez reposer cette pâte pendant une heure avant de le garnir et l’enfourner.